Ils seraient plus de 300 : pour le montant « low cost » d’un RSA, ils sont partis de France vers la Turquie, pour rejoindre les « fous de Dieu » furieux du djihad. D’anciens bons élèves de banlieues françaises, ou simples petits délinquants fraîchement convertis à l’Islam radical : la thèse d’une mauvaise intégration sociale, dont la « société » serait responsable, ne tient pas vraiment.
Premières « bonnes feuilles » du livre de son chapitre premier « les nouveaux Merah », que publie notre partenaire JOLPress.La France du Djihad » (Éditions du Moment) vient de sortir. Ses auteurs, les journalistes François Vignolle et Azzedine Ahmed-Chaouch (M6 ; anciens du Parisien), spécialistes des questions de police et de justice, ont mené l’enquête sur ces djihadistes français à la dangerosité certaine. Ils répondent dans ce livre à la question : « pourquoi les services français sont-ils persuadés que certains préparent un retour en France, afin d’y commettre des attentats de grande ampleur ? »
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