Vivre avec (le terrorisme), n’est évidemment pas l’accepter. Les dirigeants de l’AfVT (Association française des victimes du terrorisme), Guillaume De Saint Marc et Stéphane Lacombe, que la Revue Civique rencontrait récemment, est une association qui accompagne et soutient les victimes dans la durée, une association qui participe aussi aux actions de prévention des actes de terrorisme, notamment par la prévention de la radicalisation qui favorise, on le sait, le passage à l’acte de violence terroriste.
Cette association bénéficie des droits de ce petit livre, à la fois utile et limité dans la grande lutte préventive contre le terrorisme : « Vivre avec la menace terroriste » (Eyrolles), rédigé sous la direction d’Olivier et Raphaël Saint-Vincent (et préfacé par le Colonel –CR- Gérard Chaput, médecin spécialiste du stress opérationnel et du traumatisme psychique).
Olivier et Raphaël Saint-Vincent sont chargé de prévention du risque terroriste au sein de l’Union des sociétés d’éducation civique et le préparation militaire (USEPPM).
Des gestes et des attitudes concrètes peuvent sauver. La vigilance civique aussi, sans basculer dans une suspicion généralisée et malsaine. Rappelons aussi que des réfugiés syriens, par leur vigilance et leur intervention, ont su récemment déjouer des tentatives d’attentats en Europe.
► L’association française des victimes du terrorisme (AfVT)
Attentats à Berlin ou en France, même solidarité
